PLACE: Canada, Montréal, Place des Arts
TYPOLOGY: urban renewal
FUNCTION: cultural
SURFACES: 13.000 square metres
OPEN COMPETITION: 2017
COMMETTEE: City of Montréal
Comment aborder le projet?
On voudra d’abrod résoudre le conflit bâtiment – ville – espace urbain. (C’est un probleme de dessin du territoire. La ville est territoire). Cela peut se faire en envisageant un système architectural urbain qui crée la Ville, un véritable espace urbaine (à clarifier…), ce qui n’est pas le cas actuellement. Il est évident que la situation actuelle du Musée est le fruit d’un compromis entre un espace existant et la volonté d’y implanter le Musée. Le résultat, pour l’instant, n’a pas marché. Une plus grande clarté sur la présence et le rôle du Musée dans la Place s’impose.
En réalité, aujourd’hui, le Musée se trouve entre l’esplanade de la Place des arts et la Place des Festivals sur la rue Jeanne Mance. Il faut donc le traiter comme un monument au milieu d’une place qui la connote. Il compte quatre façades et sa position relative dans l’espace urbain peut en faire un véritable « centre » (d’art contemporain).
Nous imaginons une nouvelle centralité verte et artistique qui rayonne sur la place, la rue Sainte-Catherine et l’esplanade.
Le rez-de-chaussée est ouvert, traversant et devient un espace public ; toute l’année, on peut y tenir toutes sortes de manifestations et de performances : artistiques, culturelles, ludiques, privées.
L’entrée, située à l’angle des deux rues, est évidente, au milieu de l’espace urbain. Ce n’est pas seulement un accueil, mais un lieu pulsant, à la fois ouvert et prégnant : beaucoup d’activités s’y tiennent. C’est également le point de départ de plusieurs parcours fluides qui rejoignent les divers espaces de présentation, aux différents niveaux : en-dessous, de plain pied, en haut. Ce sont des espaces fluides, changeables et modifiables, clos ou ouvert, selon les besoins.
Nous voudrions mieux résoudre le flux et les parcours à l’intérieur des espaces d’exposition actuels. Il faut passer d’un système rigide en enfilade à un système fluide et évolutif, à l’image de notre société actuelle, « société liquide ». Ce système prendrait la forme de trois épines dorsales parallèles, qui supportent et nourrissent la circulation du Musée : le long des deux façades latérales (Jeanne-Mance au sud-ouest et l’esplanade de la Place des arts au nord-est) et au milieu. Des liaisons transversales entre elles génèrent un maillage. Les possibilités de parcours et d’expositions sont multipliées.
Les épines dorsales constituent aussi le dispositif d’interaction du Musée vers l’extérieur. Vitrées, elles communiquent avec la ville et leur double peau active capte l’énergie solaire et améliore l’isolation thermique. Elles constituent une serre bioclimatique (jardin d’hiver) dans laquelle on circule, on expose, on se repose, on pense (ou pas), au milieu de la nature. À différents endroits, elles donnent accès à des « cabines » suspendues, où l’on se retrouve à la fois dans le Musée et la ville. Ces lieux « VIP » dominent les spectacles qui se déroulent sur les esplanades de part et d’autre.
Il y aura bien sûr un jardin, un très grand jardin, en couverture, sur toute la surface, comme un grand chapeau vert. Accessible depuis le hall public, ce jardin pourrait faire partie de la vie publique, en été comme en hiver, en devenant par exemple un lieu d’exposition d’œuvres en glace ou une oasis rafraîchissante au cœur de cet îlot minéral. (nouvelle identité du Musée, élément signal. Signification dans la ville et dans le bâtiment.)
Ainsi, le Musée se rénove et change ses façons d’exposer, et alors les espaces, qui étaient fermés deviennent ouverts, des cloisons mobiles se déplacent, le volume devient un autre. On peut y accueillir les oeuvres en plein air, passer de l’hiver à l’été avec des expositions différentes, fermées ou ouvertes : on y fait ce qu’on veut.
Pour ce qui n’ait de la Rotonde
C’est un espace qui peut devenir très intéressant pour y exposer de l’art en hauteur (par des auteurs). On compte la libérée des quartés poteaux qui encombrent le volume, anci de la verrière pyramidal au dessus. Ca devient une salle, comme les autres, clos ou ouverte qui soit, il participe de l’architecture de l’organisme. On pourrait mémé y ajouter des plancher, le cas eschant.
On augmente les superficies d’exposition, on le rende plus fluides. En aménageant un niveau de plus, au niveau du 4ém étagé, on pourrait presque doubler l’espace, entre clos et ouvert, mais ça on en discutera avec les conservateurs, parce que les projets ils faut les partager.
L’enveloppe actuel di Musée serait traité de maniéré « restauration », ça fait partir de l’histoire du bâtiment et on y donnera tout le respect qui mérite. Ce n’est pas moins important d’une peau du 17ém siècle. Mais bien sur il faudra le rendre apte à sa fonction.
On a noté un certaine volonté d’ouverture e de « ampleur » » pour ne pas dire de grandeur, qui ne correspond pas vraiment au budget qui est consacré au projet. Peut être que on aurai pas la possibilité de tous réaliser, quitte a le laisser en héritage au futur intervenants, ou biens vu l’intérêts que un tel réalisation il peuve prendre dans le cadre cultural Montréalaise, on peut toujours espérer a un intérêts majeur.
En conclusion, on voudrais vraiment le Musée centre moteur de la Place des Arts. Centre, parce que est au centre, centre par son contenu e par ces possibilitè d’y faire des choses, centre pour l’interes et le possibilitè qui son offertes a toutes e tous, pour qui puisse devenir un organisme vivant, non pas seulement par ca frequentation, vive et pulsante, ma pour ça possibilitè de changer e de s’adapter, d’etre evolutif, « liquide » si on veut. On croit que en partageant les objettifs et les expoir avec les conservateurs et les les directeurs, on pourrait aboutir ad un resultat a l’hauteur des attentes, ou bien ouvrir des percours or incunnus que en travaillant ensemble se derouleront et nous ameneront loin et ailleurs.